
Tajouj by Soudan 1977
/Considéré par la critique comme le premier long métrage de production soudanaise, Tajouj est du genre épique, car il est adapté d'un conte folklorique soudanais sur les valeurs d'héroïsme, de bravoure et d'amour.
C'est un message
C'est un message
Le premier programme de Cinelogue, Le Cinéma Après La Libération, célèbre les films de l’art et de l’essai qui ont émergé à la suite de la domination coloniale directe. Au cours de cette période, plus des cinéastes PANDC dans les pays anciennement colonisés ont utilisé le cinéma comme un outil de reconstruction sociale et culturelle pour restaurer l'agence et l'autodétermination de leurs communautés.
Tous les films offrent une première lueur brute de les réalités vécues dans des sociétés fracturées intérieurement et extérieurement par la violence coloniale. Présentant une liberté artistique retrouvée, les films explorent les questions de la dualité, de soi et de l'autre à travers la recherche continue d'une agence individuelle et collective.
En présentant ces films dans un seul programme, Cinélogue vise à transcender le concept colonial de l'État-nation et à souligner que le projet de décolonisation en cours reste incomplet tant qu'il est organisé à travers les identités nationales.
Tajouj
de Gadalla Gubara, Soudan, 1977
Borom Sarret
de Ousmane Sembène, Sénégal, 1963
Tajouj by Soudan 1977
/Considéré par la critique comme le premier long métrage de production soudanaise, Tajouj est du genre épique, car il est adapté d'un conte folklorique soudanais sur les valeurs d'héroïsme, de bravoure et d'amour.
Borom Sarret by Sénégal 1963
/Borom Sarret, comme son nom l'indique, suit les déboires quotidiens d'Abdoulaye Ly, charretier de métier. Il parcourt certaines routes de Dakar, sa charrette tirée par son fidèle cheval AlBourakh.